Comment travaille une policière du service famille-jeunesse ?

« Tout ce qui a été prélevé sur une victime de violences sexuelles reste au CPVS. Si elle change d’avis, on pourra toujours lancer la procédure ultérieurement ».

Vanessa Hubert

Dans l’épisode d’aujourd’hui, je vous propose un entretien unique, celui de Vanessa Hubert, policière dans la Zone de police Montgomery.

Elle nous parle longuement du CPVS, le centre de prise en charge des violences sexuelles.

En un seul lieu (l’hôpital Saint-Pierre), la victime bénéficie d’une prise en charge globale :

  • Une infirmière légiste effectue les prélèvements, le constat de lésions, prodigue des soins;
  • Un.e psychologue propose une prise en charge de première ligne (écoute active) ;
  • Un policier, spécialement formé, prend sa déposition, si elle le souhaite ;

L’objectif est d’éviter que les victimes soient mal reçues ou découragées par les nombreuses démarches à effectuer …

Vanessa nous parle également de la prise en charge des mineurs en danger, des violences intrafamiliales, des enquêtes dans les dossiers d’adoption, et de reconnaissances douteuses d’enfants …

Bonne écoute !

Le lien vers le CPVS : https://www.violencessexuelles.be/centres-prise-charge-violences-sexuelles